dimanche, mars 12, 2006

L'économie de l'attention

On réalise aujourd'hui que nous sommes exposés à de plus en plus d'information. Qui demande toujours plus d'attention pour trier cette information et trouver ce qu'on cherche. Notre capacité d'attention n'a pas la possibilité d'évoluer aussi vite que le volume de ces informations. Il y a donc de moins en moins d'attention et comme toute denrée rare, on cherchera de plus en plus à :
1. capter cette attention
2. économiser cette attention

Cela s'appuie sur le même principe que les "parts de cerveau disponibles" du patron de Tf1.

Le point 1 est au coeur de toutes les stratégies de communication depuis longtemps, le point 2 est en train de devenir crucial au sein de la stratégie de tous les supports, tout spécialement sur le Net.

C.

L'article :

"What information consumes is rather obvious: it consumes the attention
of its recipients. Hence a wealth of information creates a poverty of
attention, and a need to allocate that attention efficiently among the
overabundance of information sources that might consume it."

Believe it or not, author Herbert Simon wrote this quote in "Computers,
Communications and the Public Interest" in 1971, though it could very
well apply to our information overload today. On a daily basis, bandwidth
continues to broaden, storage grows ever larger and cheaper, and content
keeps flowing from the firehose, but what about our 60,000-year-old patterns
of information processing?

Welcome to the Attention Economy.

[Source : blog O'Reilly]

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